Burkina Faso

Save the Children recrute 01 Consultant

Save the Children recrute 01 Consultant

Save the Children recrute 01 CONSULTANT POUR LA RÉALISATION DE L’ÉTUDE DE BASE DU PROGRAMME D’APPUI À LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE, À L’AGRICULTURE DURABLE ET À LA RÉSILIENCE DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE SINDOU

 

  • Niveau d’études: Bac + 5 ou plus
  • Expérience: 5 ans
  • Expire le: 18-10-2018

Save the Children

Bobo Dioulasso, Burkina Faso
Humanitaire (ONG, Associations, …), Projet/programme de développement
CONSULTANT POUR LA RÉALISATION DE L’ÉTUDE DE BASE DU PROGRAMME D’APPUI À LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE, À L’AGRICULTURE DURABLE ET À LA RÉSILIENCE DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE SINDOU.
TERMES DE REFERENCE POUR L’ETUDE DE BASE DU PROGRAMME D’APPUI A LA SECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE, A L’AGRICULTURE DURABLE ET A LA RESILIENCE DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE SINDOU
I.        PRESENTATION DE SAVE THE CHILDREN AU BURKINA
Save the Children est une Organisation Non-Gouvernementale (ONG) fondée le 19 mai 1919 en Angleterre. Depuis 1983, elle intervient au Burkina, dans la promotion et la défense effective des droits de l’enfant dans plusieurs régions dont le Centre, le Centre Nord, le Sahel, les Hauts bassins, les Cascades, la Boucle du Mouhoun… elle intervient dans plusieurs domaines tels que la Protection de l’enfant, l’éducation, l’Hygiène, la Santé, la Nutrition et la sécurité  alimentaire notamment à  travers le programme d’appui à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, a l’agriculture durable et à la résilience (PASANAD) financé par l’Union Européenne,.
   II.        CONTEXTE ET JUSTIFICATION DU PROJET
Après plusieurs années de surveillance des indicateurs, la malnutrition continue de constituer un enjeu pour le système de santé au Burkina. Certes, on note une amélioration car les prévalences de la malnutrition chronique sont légèrement en baisse depuis le début de la réalisation des enquêtes nutritionnelle nationale SMART[1]  en 2009 (soit 35.1% en 2009, 27.3% en 2016 et 21.2% en 2017). Cette dernière en 2017, constitue toujours un seuil au-delà des standards fixés  par l’OMS[2] (< 20%).
De façon spécifique la région des Cascades est beaucoup touchée au niveau malnutrition chronique (30.5%) avec un seuil correspondant à un niveau sérieux en référence aux critères de l’OMS. La nécessité d’intervenir dans cette région se justifie surtout au niveau de la province la Léraba qui enregistre une prévalence de 28.2% constituant un seuil toujours précaire.  A cela s’ajoute la situation des prévalences au niveau des pratiques d’Allaitement  du Nourrisson et du Jeune Enfant qui demeurent encore faibles (ANJE). Cela se traduit dans les résultats de l’enquête  SMART 2017 avec des pratiques d’alimentation minimum d’un faible taux de 25.4% ; de l’allaitement exclusif avec un taux à  43,7% ; du taux de diversité alimentaire de 26%. Au niveau sanitaire, les populations font face durant la période de juillet à Septembre au paludisme. Ce qui aggrave considérablement les cas de décès.
Le rapport de la compagne agricole (2016-2017) fait état de 20,1% des parcelles agricoles de la région affectés par la sécheresse augmentant ainsi la situation de précarité alimentaire des ménages. Aussi, 30,5% des ménages de la région sont en situation de précarité céréalière. Face à cette situation d’insécurité alimentaire, les ménages développent des stratégies d’adaptation en termes de :
Réduction des dépenses sur les besoins de base (denrées de première nécessité, habillement,…)
Augmentation des revenus (augmenter le nombre de personne pour travail occasionnel, le petit commerce, la vente des produits forestiers non ligneux et l’exode vers les villes et d’autres pays).
Cette précarité des ménages vivants en situation d’insécurité alimentaire contribue à augmenter la prévalence de la malnutrition aiguë et chronique chez les enfants de moins de 5 ans et des FEFA[3] . En outre, la pertinence de l’action est davantage justifiée par les problèmes prioritaires identifiés par  les femmes interrogées qui sont relatifs à  (1) la sécurité alimentaire et (2) la santé des enfants. Le présent projet utilise une approche multisectorielle afin de contribuer à la baisse de la prévalence élevée de la sous nutrition au Burkina et à la réduction de la malnutrition chronique dans le District sanitaire de Sindou.  Cette  approche s’articule sur 3 niveaux :
a) Le niveau sanitaire avec l´amélioration de l´accès aux services Alimentation du Nourrisson et du Jeune Enfant (ANJE) et le renforcement des capacités des agents de santé pour une durabilité ;
b) Le niveau communautaire et des ménages pour renforcer la résilience et combattre les causes sous-jacentes de la malnutrition auprès des ménages ;
c) Le niveau politique local pour influencer les décideurs que sont les élus locaux, pour la poursuite et l’amélioration de la mobilisation des acteurs dans la lutte contre la malnutrition.
OBJECTIFS DU PROJET
Le Programme d’Appui à la Sécurité alimentaire et Nutritionnelle, a l’Agriculture Durable et à la résilience (PASANAD) a pour objectif général  de :
« Contribuer à la réduction de la malnutrition chronique au Burkina Faso à travers l´amélioration de l´accès aux services ANJE, à l´alimentation ainsi que le renforcement de la résilience ».
De façon spécifique le projet vise à :
« Contribuer à l’amélioration du taux d’adoption des pratiques d’alimentation du nourrisson et du jeune enfant (ANJE), de la résilience des ménages pauvres et de la gouvernance en faveur d’une meilleure prise en compte de la nutrition par tous les acteurs dans la province de la Léraba, Région des Cascades au Burkina Faso ».
Pour atteindre ces objectifs, l’organisation compte travailler en suivant trois grandes lignes qui correspondent aux trois résultats suivants.
–  Résultat 1 : « Les femmes enceintes et les mères d’enfants de 0-23 mois bénéficient de services ANJE de qualité, conformément au Plan Stratégique de l´ANJE».
–  Résultat 2 : « Un environnement favorable à la mise en œuvre du PISA est créé au niveau communautaire au profit des enfants de 6 à 23 mois, des mères d’enfants de 0- 23 mois et des femmes enceintes (productions maraichères, élevage de volailles, distribution de cash, de farines enrichies et sachets de micronutriment)».
–  Résultat 3 : « Les collectivités locales s’investissent dans la gouvernance de la nutrition et la mise en œuvre des actions ».
  III.        OBJECTIF DE L’ETUDE
L’objectif de l’étude est de renseigner les indicateurs objectivement vérifiables prédéfinis pour le projet avant l’entame des activités.  Ce processus de renseignement des indicateurs dressera l’état des lieux de la situation de départ qui servira de référence afin de mesurer les réalisations du projet  au fur et à mesure de l’avancement des activités ainsi que les effets et impacts entre l’évaluation à mi-parcours et finale.
 Plus spécifiquement il s’agira de:
* Au niveau sanitaire :
– Réviser tous les indicateurs contenus dans le cadre logique et les analyser dans l’ensemble des 5 communes d’intervention et au niveau provinciale et proposer d’autres indicateurs selon leur pertinence ;
– Appréhender le niveau d’observance des pratiques actuelles en alimentation du nourrisson et du jeune enfant, en alimentation des femmes enceintes et allaitantes par ménages, et des pratiques d’hygiène et d’assainissement au sein des ménages, et de leur vulgarisation par les agents de santé et ceux à base communautaires (ASBC).
– Identifier les facteurs défavorables ainsi que les facteurs favorables à l’adoption des pratiques d’alimentation du nourrisson et du jeune enfant, d’alimentation des femmes enceintes et allaitantes, et d’hygiène et d’assainissement au sein des ménages.
* Au niveau communautaire :
–       Déterminer et caractériser la vulnérabilité alimentaire au niveau des ménages dans la zone d’intervention du projet (score économique, score de diversité alimentaire, score d’insécurité alimentaire et de la catégorie d’insécurité alimentaire) ;
–       Déterminer les stratégies développées par les ménages pour faire face aux chocs/stress, leurs stratégies de survie (positives ou négatives)
–       Identifier les opportunités agricoles et animales qui constituent des débouchés économiques pour les ménages de la province ;
–       Collecter les informations sur les études et évaluation sur le changement de comportement qui ont été réalisés dans la zone d’intervention par différents acteurs  et celles liés au genre.
* Au niveau politique :
–       Identifier les organisations paysannes actives dans la zone d’intervention ainsi leurs domaines d’intervention ;
–       Analyser le niveau d’implication des communautés dans la gouvernance locale.
 IV.        LES RESULTATS ATTENDUS
* Sur le plan sanitaire :
–          Les indicateurs du cadre logique sont révisés selon la situation de départ et des indicateurs complémentaires sont proposés par le consultant après la visite terrain.
–          Des données sur les connaissances, attitudes et pratiques des ménages sur l’allaitement maternelle exclusif jusqu’à 6 mois, l’introduction d’aliments complémentaires chez les enfants âgés de 6 à 8 mois, l’alimentation de la femme enceinte ou allaitante, les moments clé du lavage des mains sont collectées et analysées ;
–          Les acteurs clés, les facteurs limitatifs défavorables ainsi que les facteurs favorables à l’adoption des pratiques alimentaires chez les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes et d’hygiène et d’assainissement sont identifiés au sein des communautés.
* Sur le plan communautaire :
–          Des données sur le score économique, le score de diversité alimentaire, le « coping stratégies index score », la situation des prix des denrées alimentaires (Exple : Baobab, moringa, Niébé, sorgho, mil, Maïs, Riz, légumes, etc.), les sources de revenus et d’alimentation des  ménages, l’endettement des ménages,  l’utilisation des emprunts contactés par les ménages sont collectées et analysées.
–          Une analyse économique des opportunités agricoles et animales de la province est réalisée.
–          Les stratégies développées par les communautés pour faire face aux chocs/stress, les stratégies de survie  positives ou négatives, les pratiques pour augmenter les moyens d’existence ont été identifiées.
–          Des orientations/ recommandations pertinentes sont formulées pour la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des interventions visant les changements de comportements dans le domaine de l’alimentation du nourrisson et du jeune enfant et des femmes enceintes ou allaitantes, et  dans le cadre du renforcement de la résilience et des moyens d’existence des ménages vulnérables;
–          L’analyse genre et l’approche basée sur les droits humains sont prises en compte dans l’étude ;
* Sur le plan politique :
–          Les actions et les domaines d’intervention des organisations paysannes actives sont identifiés ;
–          Une analyse du niveau d’implication des communautés dans la gouvernance locale est faite.
–          Un rapport analytique exhaustif est rédigé, combinant les données qualitatives et quantitatives ainsi qu’un résumé de ce rapport est disponible ;
   V.        METHODOLOGIE ET RESPONSABILITE
1.    METHODOLOGIE
La méthodologie sera proposée par le consultant/e dans l’« offre technique » tenant compte des suivants éléments :
–       La phase initiale de préparation devra inclure une réunion initiale de discussion avec l’équipe du projet PASANAD (Save the Children) sur la méthodologie et les outils proposés. Cet échange permettra au consultant/e de mieux comprendre la logique du projet et les résultats.
–       La méthodologie et outils de collecte d’informations seront préparés par le consultant/e et validés en collaboration avec l’équipe projet.
–          La méthodologie proposée devra impliquer les acteurs de mise en œuvre à travers des consultations et d’interviews, les recherches documentaires et une technique rédactionnelle qui met en évidence les résultats attendus.
–          La méthodologie proposée devra assurer et montrer comment la dimension genre sera prise en compte.
–       Des moments de feedback préliminaire avec SCI seront prévus, spécialement lors de la validation de la méthodologie, la présentation des résultats préliminaires avant la rédaction du rapport préliminaire.
Après la soumission du rapport final le consultant/e participera à un atelier de restitution des résultats de l’évaluation avec les parties prenantes. Dans le cadre de cet atelier les résultats de l’évaluation seront présentés par le consultant.
2.    RESPONSABILITES
Le consultant s’engagera à fournir un rapport écrit clairement, entre 30 et 40 pages maximum sans les annexes, avec un langage accessible. Par ailleurs, le rapport répondra aux règles d’évaluation applicables à Save The Children International comme stipulées ci-dessous :
–       La page de titre contient les informations clés suivantes: 1. Nom du projet évalué, 2. Lieu du projet, 3. Dates finales de soumission et d’approbation, 4. Description clé de l’évaluation (externe, interne, finale, etc.), 5. Nom et coordonnées de l’évaluateur, 6. Thème, 7. Sous-thème / Mots-clés
–       Les pages d’ouverture (après la page de titre) qui contiennent: 1. Table des matières, 2. Liste des tableaux et figures, 3. Liste de l’annexe, 4. Remerciements, 5. Liste des acronymes
–       Les annexes contiennent qui contiennent le cadre logique du projet, les termes de référence d’évaluation, le calendrier d’étude, la liste des personnes impliquées et les outils de collecte de données utilisés
–       La liste de référence qui contient des documents internes et externes.
–       Le résumé qui contient une brève description de la principale question d’évaluation, du projet, de la méthodologie, des constatations, des conclusions, des recommandations et des leçons apprises.
–       Introduction : Description des objectifs, des thèmes et de l’envergure de l’évaluation.
–        Méthodologie : Aperçu sur les méthodes (quantitatives et qualitatives) appliquées, applications, éventuelles restrictions (informations clés non accessibles, …) et leurs influences sur l’évaluation.
–       Analyse des résultats : Présentation détaillée des résultats de l’évaluation (par indicateur),
L’offre financière proposée par le/la consultant(e) devra prendre en compte toutes les dépenses afférentes à la réalisation de l’étude.
La totalité des sommes nécessaires à la réalisation de cette consultation sera supporté par Save the Children une fois les factures seront reçues et selon les modalités de paiement suivantes :
40% à la signature du contrat et à la demande du consultant
60% une fois le rapport final a été validé par Save the Children international.
Save the Children  appliquera des frais de pénalité financiers journaliers selon ses procédures, dans le cas où les délais de livraison des produits accordés ne sont pas respectés.
Gestion de l’étude
L’étude sera gérée par le consultant en étroite collaboration avec les commanditaires que sont le responsable du projet, le responsable suivi-évaluation (MEAL) du projet et le conseiller en suivi-évaluation du bureau pays de Save the Children.
Le gestionnaire de l’étude en l’occurrence le consultant est responsable pour :
Garantir l’indépendance et l’impartialité de l’étude ;
Conduire toutes les activités liées à l’étude en étroite collaboration avec le personnel du projet et les partenaires ;
Soumettre un rapport provisoire de l’étude sur un support électronique y compris la base de données pour intégrer dans le rapport général ;
Soumettre un rapport final de l’étude ;
Respecter les clauses du contrat.
Orienter et suivre le processus de planification et de mise en œuvre de l’étude
Veiller au respect des modalités d’exécution et le calendrier du plan de travail et proposer des ajustements éventuels en cas de besoin aux commanditaires ;
Assurer que l’étude soit conduite en conformité avec les normes et standards de qualité de de SCI en concertation avec les commanditaires;
Analyser et assurer la qualité des rapports provisoires et finaux d’étude ;
Faciliter les liens avec d’autres spécialistes notamment les Conseillers régionaux en protection de l’enfant de SCI et la Conseillère technique en protection de l’enfant de Save the Children Finlande ;
Faciliter la communication et le partage d’informations entre toutes les parties prenantes de l’étude.
 VI.        PRODUITS ATTENDUS
Rapport de démarrage (inception report)
Rapport technique de l’étude comprenant les éléments suivants :
–          les méthodes de collecte et d’analyse des données primaires et secondaires
–          les outils de collecte et d’analyse des données
–          un plan détaillé d’échantillonnage
–          les mesures éthiques qui seront prises lors du processus de l’étude
–          les limites de l’étude
–          un plan détaillé de la mission : organisation du travail ; chronogramme ; rôles et répartition des tâches des différents membres de l’équipe ; mécanismes de contrôle de qualité des données
–          les risques de l’étude et les mesures prévues pour les atténuer
Rapport final d’étude du projet (max. 40 pages sans annexes) composé comme suit :
–          Résumé exécutif
–          Introduction : but, objectifs et portée de l’étude, critères, questions …)
–          Méthodologie : méthodes de collecte, d’analyse et de triangulation des données, assurance qualité, processus et gestion de l’étude, considérations éthiques, limites et stratégies d’atténuation
–          Contexte général
–          Présentation et analyse des données
–          Recommandations avec une hiérarchisation des actions prioritaires et un ciblage clair de(s) groupe(s) cible(s)
–          Pistes pour l’opérationnalisation des recommandations/ Conclusion
Fichiers électroniques complets des données ;
Les outils développés et utilisés pour la collecte des données ;
Liste des personnes rencontrées ;
Liste des documents consultés ;
Restitution des conclusions et recommandations préliminaires et finales.
VII.        PROFIL DU CONSULTANT
La personne physique ou morale (cabinet ou consultant) pour cette évaluation doit répondre aux qualifications suivantes :
Avoir un master en santé publique, nutrition, agro-économie, socio-économie ou toute discipline associée ou en recherche sociale/nutrition
Avoir une expertise avérée dans la recherche qualitative et quantitative sur la santé, la nutrition et la sécurité alimentaire ;
Avoir au moins 5 années d’expérience dans le domaine d’évaluation des  programmes et politiques  de santé, nutrition, et sécurité alimentaire.
avoir une bonne connaissance des méthodes et stratégies d’intervention des ONG (Organisation Non Gouvernementale)  œuvrant dans le domaine de l’humanitaire ;
Avoir déjà mené au moins une étude similaire dans le domaine de la nutrition serait un atout.
avoir une expérience antérieure dans la coordination des enquêtes de connaissances, attitudes et pratiques en matière d’ANJE et d’hygiène et d’assainissement,  et des enquêtes sur la vulnérabilité alimentaire ;
avoir une bonne connaissance des approches d’intervention intégrant les programmes de nutrition, santé et sécurité alimentaire.
VIII.        DUREE DU CONTRAT
Durée de l’étude jusqu’à remise du rapport final : un mois et demi (1.5) mois.
Période : 15 Octobre 2018 – 28 Novembre 2018
Lieux : District sanitaire de Sindou (communes et villages d’intervention).
 IX.        PROCEDURES DE SOUMISSION
–        Lettre de soumission
–        Un protocole d’étude
–        Une offre technique comprenant un planning détaillé du processus
–        Une offre financière
–        Le curriculum vitae du consultant chef d’équipe de l’étude
–        Un exemple d’un rapport final (baseline) déjà exécuté par le consultant.
La proposition financière doit indiquer le montant total/somme forfaitaire globale. Afin d’aider le commanditaire dans la comparaison des offres, chaque proposition financière comprendra une ventilation détaillée du montant forfaitaire, incluant :
(i)            Les honoraires du consultant et de son équipe (indemnités journalières de 45 jours prévus) ;
(ii)           La périodicité et les modalités de paiement souhaitées (paiements par échéances en cours de contrat, ou paiement final).
(iii)          Les candidats voudront bien noter que les paiements ne pourront être effectués que sur la base des produits livrés, c’est à dire sur présentation du résultat des services spécifiés dans les TDRs. Il est à noter que les procédures de SCI seront aussi prises en compte dans l’établissement des modalités de paiement et dans la détermination des montants associés.
La réalisation de l’étude fera l’objet d’un contrat qui précisera les détails sur la consultation.

POSTULER
[subscribe]

Laisser un Commentaire

En savoir plus sur Concoursn.com

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading