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Le CCL recrute 01 Conseiller Projet Junior en Développement Rural

Le CCL recrute 01 Conseiller Projet Junior en Développement Rural

Le CCL, en partenariat avec le SCD, recherche une personne qualifiée et motivée pour le poste VSI de

Conseiller Projet Junior en Développement Rural

Présentation des structures :

Le CCL (Comité de Coopération avec le Laos) est un acteur de terrain qui est engagé auprès de la population laotienne depuis 40 ans, et particulièrement dans le domaine du développement rural dans le Nord du Laos.

Le CCL  est une ONG française créée en 1980 dans le but de soutenir la reconstruction du pays après des années de guerres. Le CCL intervient exclusivement au Laos et possède 40 ans d’expérience dans la mise en place de projets de développement rural et de soutien au système de santé communautaires, en particulier auprès des minorités ethniques. Au cours des années, le CCL a bâti une expertise sur les contraintes et les enjeux auxquels font face les communautés pauvres et a construit des relations de confiance avec les autorités locales, permettant de mettre en place des actions à forts impacts positifs, efficients et durables. Basé sur des approches participatives et holistiques, et afin de maximiser la pertinence de ses actions, les bénéficiaires et les partenaires des projets participent activement aux stades du design, de la mise en place et de l’évaluation des projets. Les actions du CCL sont également mises en place avec une attention particulière portée aux enjeux de genre.

Actuellement, le CCL met en place des projets dans les provinces de Phongsali, Oudomxay, Vientiane et Khammouanne, dans le domaine du développement rural intégré, de l’éducation et de la santé et la nutrition. Le CCL est administré par un conseil d’administration base en France et au Laos, est géré au Laos par une directrice laotienne et une petite équipe au siège opérationnel de Vientiane et des équipes basées dans les provinces d’intervention (49 personnes au total), bénéficiant ainsi de personnels ayant une longue expérience des hautes terres du Laos, originaires des zones rurales, rendant l’ancrage du CCL sur le terrain particulièrement fort. Les principaux partenaires financiers du CCL sont l’Union Européenne, l’Agence Française de Développement, Brot für die Welt, l’Agence de l’Eau Rhin-Meuse, le Programme Alimentaire Mondial. Plus d’informations sur le CCL: https://ccl-laos.org/

Le SCD (Service de Coopération au Développement) est une ONG française spécialisée dans l’envoi et l’accueil de volontaires pour des missions de moyen et long-termes (6 à 24 mois) dans le cadre de projets de développement. Les volontaires du SCD fournissent un appui aux structures partenaires en Asie, Afrique, Amérique du Sud et au Moyen-Orient. L’objectif du SCD est d’établir des relations de solidarité entre des acteurs à l’échelle mondiale afin de faciliter la compréhension mutuelle et le développement d’un monde plus humain. Depuis 2015, le SCD a également accueilli des volontaires africains, asiatiques et sud-américains à Lyon. Le SCD est certifié par le ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères, garantissant ainsi aux volontaires le statut VSI et le cadre légal correspondant (assurance santé, formation au départ, suivi en cours et au retour de la mission). Plus d’informations sur le SCD : www.scd.asso.fr  

Cadre de la mission :

La mission s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet de développement rural d’accès à l’eau et à l’assainissement dans le Bassin de la Nam Sa, dans la province de Bolikhamxay (Centre du Laos). Financé par l’Agence de l’Eau Rhin-Meuse et la Ville de Paris, le projet débutera en janvier-février 2023 pour une durée d’un an.

Le projet est mis en place en partenariat avec les autorités locales (bureaux de la province et des districts en charge des ressources naturelles et de l’environnement, département de la santé, union des femmes lao), avec l’association de la société civile lao Rural Development Agency, et bénéficiera de l’appuis et de l’expertise de l’ONG française Office International de l’Eau. Le projet soutien 5 communautés villageoises (Lao et de minorités Phun et Khmu), via des approches participatives, au travers de 3 composantes interdépendantes :

  • Objectif spécifique 1 : L’accès à l’eau des communautés est amélioré en quantité et qualité (activités de réhabilitation et extension de réseaux d’eau collectifs, connexion d’écoles aux réseaux d’eau, analyses de la qualité de l’eau)
  • Objectif spécifique 2 : Les communautés et les familles sont accompagnées pour une amélioration de l’assainissement (activités de formation de formateurs à l’assainissement et à l’approche sanimarché, Accompagnement des communautés et des familles vers l’assainissement)
  • Objectif spécifique 3 : Les communautés et les acteurs locaux sont renforcés sur les enjeux de gestion de la ressource en eau (activité de renforcement et accompagnement des comités de gestion de l’eau, réalisation d’une étude de bilan hydrologique simplifié du Bassin Nam Sa)

Contexte de la mission :

Le Bassin de la Nam Sa, affluent du Mékong situé à l’est de Vientiane, couvre un territoire de 247km², dans la Province de Bolikhamxay, recoupant les districts de Paksan et Pakkadin, et dans une faible mesure de Borikhan. La population totale du bassin s’élève à 13200 personnes, réparties dans 18 villages, issus des ethnies Lao, Yor, Hmong, Kamu, Mery, Gnor et Phun. La principale activité économique des villages du bassin est la production agricole pour l’autoconsommation et la vente, qui regroupe 90% des actifs du bassin. Les terres arables couvrent une surface de 4500 hectares, pour la production de riz principalement, et dans une moindre mesure d’hévéa, de manioc, de citronnelle. Le riz, même s’il est cultivé en terrasses, est très rarement irrigué sur le bassin et les villageois ne pratiquent donc qu’une seule récolte par an. Quelques villages mènent des activités d’élevage pour la vente (buffles, vaches, porcs). Certains villages bénéficient également de leur proximité avec la route reliant Vientiane à Thakeak, un des principaux axes du pays, et ont développé des activités commerciales et de services.

Environ 600 puits et forages ont été répertoriés sur l’ensemble du bassin. Ces installations sont à usage individuel ou collectif et sont le plus souvent d’une profondeur de 10 à 15 mètres. A l’échelle du bassin, la consommation d’eau moyenne quotidienne est de 61,4 litres par personnes. Deux usines de traitement des eaux, situées à Ban Ponhom et Ban Ponxai, puisent les eaux souterraines et vendent des bidons d’eau filtrées par osmose inverse et épurée par traitement UV, alimentant un marché important pour l’accès à l’eau potable, mais dont le coût en exclu certaines familles[1].

Le bassin de la Nam Sa, pourrait être fortement impacté par le changement climatique et les modifications de régimes des précipitations. Sur la période 1999 – 2018, le Laos est classé au 22ème rang des pays les plus impactés négativement par les effets du changement climatique dans le monde et au 48ème rang des pays à plus fort risques climatiques à long-terme[2]. Depuis 1951, la température moyenne a augmenté près de deux fois plus rapidement au Laos qu’à l’échelle mondiale. Les épisodes de sécheresses et d’inondations devraient augmenter, tant en fréquence qu’en intensité, engendrant des pertes agricoles et des dommages aux infrastructures. Environ 70% de la population du pays et 90% de la population du bassin, en tant qu’agriculteurs, dépendent fortement de ressources naturelles et des conditions climatiques pour leur subsistance. Cependant les scénarios d’évolution du climat du GIEC semblent indiquer que les pénuries d’eau en saison sèche devraient affecter fréquemment les populations rurales laotiennes dans le futur. Le développement socio-économique du Laos, et notamment du bassin de la Nam Sa est ainsi particulièrement sensible aux enjeux de changement climatique.

Le Bassin de la Nam Sa fait l’objet depuis 2017 d’un projet pilote de Gestion Intégrée de la Ressource en Eau (GIRE) par l’Office International de l’Eau (OIEau) et le MONRE (Ministère laotien en charge des ressources naturelles et de l’environnement), visant à renforcer la gouvernance concertée sur les enjeux liés à l’eau.

En concertation avec ces deux acteurs ainsi que les départements décentralisés du MONRE (PONRE de la Province de Bolikhamxay et DONRE des districts de Paksan et Pakkadin), le CCL a identifié les principaux besoins dans 5 villages prioritaires du bassin : Nakhaolom, Khamphai, Botheurn, Nabon, Khambon.

Ces 5 villages sont localisés dans la partie nord-est du bassin, le long de la montagne Pou Ngou et regroupent une population totale d’environ 3500 personnes. Dans ces villages, l’eau bue par les villageois provient selon les familles de sources captées (36% de la population des 5 villages), de l’achat de bidons d’eau (52%), voire pour certaines familles de Botheurn de puits ou forages individuels (12%). L’eau à usage domestique provient selon les villages, les familles et la saison 1/des sources captées, 2/de puits individuels ou collectifs (3 à 10m), 3/de forages profonds individuels ou collectifs (environ 40m). L’accès à l’eau pour la consommation et pour les usages domestiques est relativement bon dans les 5 villages où des solutions, soit individuelles soit collectives, avec le soutien ou non d’un projet de développement et/ou des autorités locales, ont été trouvées pour assurer un accès à l’eau de base pour presque toutes les familles. Les corvées de collecte et de transport d’eau, en particulier dans les familles n’ayant pas accès à des réseaux d’adduction d’eau ou en période d’étiage des réseaux existants, sont principalement effectuées par les femmes et les enfants[3].

Cependant, ces communautés font face à i/des fuites d’eau récurrentes liées à l’ancienneté des installations, ii/des périodes de pénuries dans les réseaux d’adduction collectifs, liées aux fuites et au dimensionnement des réseaux, iii/des problèmes de qualité de l’eau, qui, si des analyses de qualité de l’eau n’ont encore jamais été réalisées dans les villages, semblent être d’origine bactérienne et/ou parasitaires, principalement liés à l’absence de systèmes de filtration améliorés et des épisodes de diarrhées liés à la mauvaise qualité de l’eau ont été rapportés et à l’insuffisance des mesures d’assainissement et d’hygiène. L’accès à l’eau varie selon la saison, avec des périodes d’étiage, voire de pénurie, plus ou moins longue selon les villages et selon la localisation des robinets dans le village (enjeux amont-aval).

Les 6 réseaux collectifs issus du captage des sources (2 réseaux séparés à Nabon) sont gérés par des comités villageois. Les villageois sont capables de réparer les principales fuites, soit par groupe de familles concernées, soit à l’échelle du village. Le sentiment de propriété (ownership) des villageois à l’égard de leur réseau d’eau est fort, base pour une bonne gestion et facilitant leur durabilité. Les besoins en renforcement de compétences des comités villageois semblent porter sur l’acquisition de nouvelles connaissances techniques pour maximiser la durabilité des installations et sur la meilleure gestion et protection des zones de captage, sur lesquelles pèsent des risques de déforestations et de feu de forêts incontrôlés.

La couverture en latrines est relativement bonne à l’échelle du bassin, 77% des familles possédant des latrines individuelles, et 23% ayant accès à des latrines collectives. Seul environ 1% de la population du bassin continue à pratiquer la défécation à l’air libre[4]. Des disparités semblent exister entre les villages et quelques besoins d’accompagnement pour la construction de latrines individuelles subsistent dans les villages de Nakhaolom, Khamphai et Botheurn. Plus largement, et du fait des enjeux de santé publiques observés en lien avec la qualité de l’eau, les 5 communautés requièrent un accompagnement collectif vers l’hygiène et l’assainissement.

Objectifs et finalité de la mission :

Appui technique et méthodologique aux équipes de projet ; Mise à jour du système de suivi-évaluation ; Rédaction des rapports activités en anglais et en français, Mise en place d’une étude de bilan hydrique.

La personne recrutée sera en charge du suivi-évaluation, et sera donc intégrée au quotidien à l’équipe du projet basée à Paksan (province de Bolikhamxay), afin d’assurer un suivi des activités et un appui technique régulier auprès des partenaires de terrain. Elle sera sous la responsabilité de la directrice du CCL basée à Vientiane et du conseiller projet du CCL basé à Oudomxay et travaillera étroitement avec le/la coordinateur/rice du projet basé/e à Paksan.

Des missions régulières à Vientiane, environ une semaine tous les deux mois, sont également prévues afin d’assurer la coordination avec le CCL Vientiane et également, participer aux réunions/ateliers de coordination et concertation avec les différents partenaires.

Activités concrètes à mener

Le/la volontaire sera chargé/e de :

  • L’appui technique et méthodologique à l’équipe projet dans la mise en place des activités. Basé sur une revue de la littérature, des entretiens avec les staffs et les bénéficiaires, des observations sur le terrain et une participation aux activités, l’appui technique et méthodologique permettra de : i/fournir des conseils aux staffs techniques pour améliorer les activités, ii/améliorer le matériel de sensibilisation et/ou développer de nouveaux supports de formation, iii/formaliser des recommandations quant à la pertinence, l’efficience et la durabilité des activités. Le support technique portera essentiellement sur le design des installations (réseaux d’eau, latrines, systèmes d’assainissement individuels), la préparation de formations pour les comités villageois de gestion de l’eau. Le soutien méthodologique portera essentiellement sur une amélioration des approches participatives et relative au genre.
  • La mise en œuvre du système de suivi-évaluation du projet, via i/la collecte de données sur le terrain, en partenariat avec l’équipe projet, principalement des données socio-économiques, ii/la consolidation des données récoltées par l’équipe, iii/l’analyse et la synthèse des données afin de renseigner l’évolution des indicateurs de suivi et d’impacts du projet. Le système de suivi-évaluation sera formalisé en début de projet avec l’équipe du CCL. Les résultats du suivi-évaluation sont utilisés par le.a volontaire pour orienter le suivi technique et méthodologique.
  • La préparation et la mise en place d’une étude de bilan hydrologique simplifiée à l’échelle du bassin. Un premier cadre de l’étude a été formalisé, et en tant qu’activité à part entière du projet, consiste en : i/Décrire les précipitations sur le bassin, ii/Identifier, décrire et si possible cartographier les différents flux d’eau de surface à l’échelle du bassin , iii/Identifier, décrire et caractériser les principaux usages de l’eau sur le bassin, iv/Discuter avec les acteurs locaux des évolutions potentielles du bilan hydrologique du bassin au regard de scénarios d’évolutions futures (changement climatique, modification des pratiques et des usages de l’eau)
  • La rédaction de rapports d’activités en français et en anglais. Ces rapports seront fourni aux partenaires du projet, notamment partenaires financiers (Agence de l’Eau Rhin-Meuse, Ville de Paris).
  • Communiquer sur les activités du projet, via des publications régulières sur le site internet et la page Facebook du CCL.

[1] OIEau & MONRE & AELB & AERM; 2020 ; Nam Sa River Basin Profile (document interne)

[2] GermanWatch ; 2019 ; Global Climate Risk Index

[3] CCL & OIEau ; 2019 ; Mission Exploratoire Technique et de Coordination à Bolikhamxay – Rapport de mission

[4] OIEau & MONRE & AELB & AERM; 2020 ; Nam Sa River Basin Profile

Expériences / Formation

Formation souhaitée :

Ingénieur spécialisé ou Master en gestion de l’eau / assainissement / génie civil – génie de l’eau ; ou Ingénieur Agronome avec spécialisation en Eau & Environnement et/ou développement rural

Expérience professionnelle souhaitée :

  • Une expérience antérieure sur un projet de développement rural est souhaitée
  • Une expérience antérieure en suivi-évaluation serait un plus
  • Expérience en développement rural au Laos ou en Asie du Sud-est est un plus

Savoir / Connaissances :

  • Des connaissances en gestion des ressources en eau sont attendues
  • Des connaissances en design et construction de réseaux d’eau gravitaires seraient un plus
  • Une connaissance des enjeux d’assainissement et d’hygiène communautaire seraient un plus
  • Des connaissances en analyses de données et gestions de bases de données (R, Access, utilisation avancée d’Excel) sont attendues
  • Des connaissances en systèmes d’information géographique (QGIS, ArcGIS) seraient un plus
  • Compétences de base en gestion financière
  • Parler, comprendre et écrire l’anglais couramment (minimum niveau C1 selon le CECRL)
  • La connaissance du Lao est un plus

Savoir-faire :

  • Travailler en mode projet
  • Animer des réunions et de faciliter des discussions collectives
  • Préparer des questionnaires (entretiens structurés et semi-structurés) et des formulaires de collecte de données (par exemple via l’application Kobo)
  • Conduire des entretiens auprès des bénéficiaires et des partenaires du projet
  • Consolider, analyser et synthétiser des données
  • Ecrire des notes techniques, des recommandations, des études de cas et des rapports
  • Suivre les procédures du projet
  • Ecrire et publier des articles de communications (site internet, réseaux sociaux)

Savoir-être :

  • Ouverture d’esprit et curiosité
  • Sens de l’initiative et de la communication
  • Autonomie
  • Esprit d’équipe
  • Motivation pour les enjeux environnementaux et de développement durable

Salaire

Statut de Volontaire de la Solidarité internationale (loi 2005) en partenariat avec le SCD (Service de Coopération au Développement), incluant :

  • Gratification: 880€/month
  • Aide au logement: 250€/month – L’équipe du CCL appuiera le/a volontaire afin de l’aider à trouver un logement adéquat
  • Couverture sociale incluant les cotisations retraites (via la Caisse de Français de l’Etranger), mutuelle (Versperien) & assurance rapatriement
  • Billet d’avion aller-retour pour le Laos (début et fin de mission)
  • Cours de Lao intensifs en début de mission (1 à 2 semaines)
  • 2.5 jours de congés seront octroyés par mois de travail.

Formation au départ obligatoire organisée par le SCD à proximité de Lyon. La prochaine formation a lieu du 21 au 25 novembre 2022 (le SCD organise 5 formations par an).

Mission de 12 mois à compter de Février 2023

Lieu de travail : Poste basé à Paksan avec des déplacements fréquents dans les villages d’intervention (5 villages des districts de Paksan et Pakkading) et sur l’ensemble du bassin de la Nam Sa.

Heures de travail : Lundi au vendredi de 8h00 à 12h00 et 14h00 à 17h00 lorsqu’il/elle sera au bureau. Les missions de terrain dans les villages cibles pourront être réalisés sur plusieurs jours en raison des difficultés d’accès et de l’optimisation de la logistique. Le travail de terrain peut nécessiter des horaires de travail en soirée, du aux contraintes de disponibilité des villageois.

Moyen de déplacement : Une moto type scooter Honda Wave 100cc sera mise à disposition du (de la) volontaire.

Contraintes spécifiques :

  • Travail sur écran supérieur à 4H par jour
  • Travail en conditions tropicales
  • Trajets fréquents dans les villages d’intervention, avec potentiellement des entretiens à mener en soirée et des nuits dans les villages

Comment postuler

Candidature (CV + LM démontrant l’adéquation de la candidature avec les missions proposées, en français ou en anglais) à adresser avant le 15 octobre 2022 à : Manivone VORACHAK, Directrice du CCL (manirachak@gmail.com), Vincent COUDERC, conseiller projet du CCL (vincentcouderc.ccl@gmail.com) et Florie KÉBÉ, Chargée de Pôle partenariat – volontariat Asie au SCD (florie.kebe@scd.asso.fr).

Indiquer dans l’objet du mail : Candidature Nam Sa : NOM Prénom

Pour toutes questions concernant la mission : contacter Vincent COUDERC (vincentcouderc.ccl@gmail.com).

Seul.e.s les candidat.e.s présélectionné.e.s seront contacté.e.s pour un entretien seconde quinzaine d’octobre.

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